Il y a longtemps que je le pressens, et que j'alerte : nous som-mes TOUJOURS dans le processus de la guerre qui a com-mencé en novembre 1910 par une entente entre banquiers à Jekyll Island en vue de créer une fausse banque fédérale, mais une vraie super-banque privée dirigée évidemment par la City de Londres.

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Résumons-nous. Qu'est l'Anglosaxonnerie ? Ce n'est pas l'ensemble des peuples qui parlent ce qu'on appelle l'anglais en langue maternelle. Il faut remonter dans l'Histoire.

Quand les souverains de Francie, excédés des raids sanglants et contre-productifs des Vikings, finissent par les battre dans une vraie bataille en 911, en échange d'une allégeance envers le souverain français les Hommes du Nord reçoivent la région de Rouen, la Normandie. Il sont "renommés" dès cette époque-là pour leur âpreté au gain, et leur dissimulation et leur tendance à jouer toujours sur les mots pour en tirer avantage. C'est Wikipedia qui le dit....

Ce sont ceux-là, avec une culture très élaborée, et très spécifique, qui environ un siècle plus tard traversèrent en armes la Manche, et prirent possession de “l'Angleterre”. Naturellement ils en furent les seigneurs face à des Saxons hirsutes et ignares (les Romano-Celtes étaient presque disparus de ces contrées). Naturellement ils se créèrent des écoles pour des enfants “de l'Élite”, ou du moins de ce qui entendait bien l'être.

Longtemps plus tard, ces écoles de l'élite existent encore, avec des traditions de violence (le bashing) qui déforment durablement ceux qui passent dedans. Voir pour illustration féroce le film If..... de 1968.

C'est cette “civilisation” violente, cauteleuse, hautaine, dominatrice, qui fut exportée en l'état dans les vastes territoires entre Grands Lacs et Rio Grande, mais aussi en Australie, en Afrique du Sud, dans une proportion moindre dans les "arpents de neige" du Canada, et provisoirement en Inde. C'est cette “civilisation” autoproclamée (on anti-civilisation ?) que l'on peut appeler l'Anglosaxonnerie alors qu'elle ne doit pratiquement rien ni aux Angles (ancienne peuplade du nord de l'Allemagne, genre Schleswig-Holstein), ni aux Saxons leurs voisins d'autrefois. Mais beaucoup plus aux hobereaux norvégiens d'il y a mille ans.

Maintenant cette anti-civilisation de la supériorité supposée, de la domination, de la cauteleuserie, de l'intransigeance confinant à la stupidité, liée depuis toujours à la domination des mers et océans, veut dominer le monde y compris continental, par un atavisme indomptable et bas du front, et sans doute aussi parce que ce concept civilisationnel, bien moins sûr de lui qu'il ne veut le montrer, a peur des vieilles civilisations continentales qui ont 3000 ans et plus de recul.

Bas du front sont ces élites autoproclamées, sûres de leur supériorité mais très rarement géniales, aux principes cassants et sans nuances. En fait, des "autres", la piétaille qui ne fait pas partie de leur monde, ces élites n'attendent que deux choses : soit qu'ils disparaissent, soit qu'ils les servent sans murmurer. Car s'ils parlaient, la sagesse ne ferait qu'une bouchée de la “grande gueule” au contenu vide et à l'œil hagard. (clin d'œil humoristique, pour baisser la tension)

On ne peut que constater une évidence : ce que les porte-paroles de ces gens appellent aujourd'hui « Le Grand Reset » n'est que l'application pure et dure de ce qui précède. Mille ans plus tard, Guillaume le Bâtard, qui fut appelé au bout de quelques années Guillaume le Conquérant, est revenu avec sa morgue, sa culture limitée mais perverse. Bien entendu il ne saurait s'expliquer, ou du moins ses successeurs, qu'on puisse lui apporter une opposition à ses sages projets hautement intéressés.

L'Anglosaxonnerie n'est donc qu'une élite recrutant ses nouveaux membres dans les rangs de la perversité, de la médiocrité sourcilleuse, de la bassesse la plus abjecte envers les plus anciens, liée à un mépris grandiose envers ceux qui font vraiment marcher le monde.

Retrouver parmi ceux qui ont les honneurs fréquents des médias subventionnés d'aujourd'hui des personnalités (hum) qui correspondent à ces descriptions ne saurait être fortuit.

Pour notre avenir, osons le dire : ce sera eux, ou nous.

Les choses sont simples, il me semble, mais cela risque de choquer les commu-nistes : INTERDIRE l'implantation des supranationales PARTOUT, et pour cela il faut que les citoyens soient maîtres chez eux, dans leurs communes. Il faut se débarrasser totalement de la notion de PROFIT, de celle de développement pour revenir à un système où prime totalement la demande, et non l'offre. Ce qui inverse toute l'économie, puisque cela conduit à produire à la demande, avec juste un petit volant de stock d'urgence.

Incidemment cela résout largement les besoins énergétiques, les gaspillages de ressources du sous-sol, cela abaisse le taux de pollution à un niveau très bas, et ramène le chômage à un taux également très faible.

Bien entendu, OUI, ben entendu, c'est un processus qui rend l'État quasi, ou totalement, inutile. Il suffit que, au gré des circonstances, des communes se concertent pour un projet collectif uniquement quand c'est nécessaire. Plus de grandes décisions dogmatiques imposées à l'échelle d'un continent.

Bien entendu aussi, disparaissent pratiquement les banques qui vivent le plus souvent de ces Grands Projets souvent inutiles. C'est dire combien cela change-rait les choses. Pratiquement terminée, la mondialisation ; définitivement terminée la globalisation.

Alors, on y va ?

Le rôle de Londres dans la débâcle des relations internationales date de pas loin maintenant de 400 ans, quand Olivier Cromwell a pris le pouvoir. Au départ c'était assez faible, mais depuis plus de deux cents ans c'est à gros bouillons : Albion la Grande Puissance Impériale des Océans a toujours voulu depuis cette période-là s'arranger par TOUS les moyens de ne pas avoir affaire en face d'elle à quelque puissance terrestre qui soit. "Le Grand Jeu" décrit par Kipling en fut l'un des aspects.

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En 2024 son pseudopode d'outre-Atlantique a pris la relève, mais comme celui-ci est toujours, même maintenant, soumis aux Banksters de la City (rappelons à nouveau que ce quartier de Londres est depuis au moins 800 ans indépendant de fait, et que le roi d'Angleterre doit demander la permission d'y entrer), rien n'a changé.

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La plus qu'alliance aujourd'hui entre la Russie et la Chine est une catastrophe pour cette politique opiniâtre et "indomptable", alors que la "civilisation" (si l'on peut dire) anglo-saxonne comme on dit [en fait "normande", donc celle de Vikings vaguement dégrossis par l'environnement "français"] est en train de décliner car c'est son tour, et qu'elle l'accepte mal....

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Oui, ce qui est devenu “l'Empire du Mal” à force de se mettre en avant comme l'Empire du Bien (le sien) part à vau-l'eau, et bien entendu pour une grande part de sa faute parce qu'il a VOULU imposer des aberrations comme le capitalisme sans aucun frein, la licence sexuelle sans aucun frein, le mélange de populations sans aucun frein quitte à mettre à la poubelle toute référence aux langues, aux cultures (au pluriel surtout), à la morale naturelle, aux particularismes si attachants, aux notions naturelles liées à l'écologie naturelle, en un mot :

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Place au CHAOS.

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Aïe ! Cela ne saurait durer. De quelle façon ? On ne sait pas encore. Mais le retour de bâton pourrait être sévère, et pas forcément pour ceux qui en furent les acteurs avec abnégation et stupidité.

Soyons brefs,mais clairs.

il ne faut pas développer la haine, parce que la haine appelle la haine en retour, et on n'en finit pas.
Non, il faut développer à la fois la volonté de se renseigner le mieux possible, pour bien comprendre, de se former à partir de la sa propre opinion malgré les propagandes diverses, et soigner sa détermination ferme mais lucide et calme de créer des lignes rouges.

Ce n'est pas facile ? Non, certainement pas. Toujours chercher, quand un évènement révoltant survient – et ces temps-ci ils sont nombreux, et parfois apparemment contradictoires – Q_U_I_ a vraiment intérêt, pour des raisons souvent diverses, à les susciter de façons souvent très insidieuses.

Il ne faut pas nécessairement crier "au complot", le plus souvent même si cela prend du temps à se réaliser ce sont des initiatives non concertées, mais chronologiquement proches parce que les mêmes causes peuvent produire les mêmes effets.

Oui, on constate des colloques entre "pairs", qui discutent entre eux de l'avenir de tous les autres sns même leur en parler, parce que ces gens-là, Monsieur, ils savent. Ils savent ce qui leur plaît, à tel moment, à propos de tel endroit, et qu'importe le reste ! Soyons bien assurés que si des intérêts s'affrontent à ce niveau-là, il est facile de constater des "accidents" aussi fortuits que stupides, comme se suicider de deux balles dans le dos : c'est assez ballot !

Il n'est pas certain que cette élite auto-proclamée (avec turbo s'il-vous-plaît) ne craignent pas un peu que se développent des champignons un peu partout dans le monde, malgré les havres hyper-sécurisés qui ne peuvent durer qu'un temps. En revanche, il est toujours possible qu'un de ces supermen soit pris de démence, et déclenche l'irréparable.

Alors que faire, face à toutes possibilités de situations intolérables ? Nous l'avons dit : se renseigner, encore et toujours, en panachant soigneusement les sources pour tenir compte des fausses nouvelles, ou de faits biaisés. Et si l'horreur arrive, personnelle ou pour tous, se souvenir de la devise des Ducs de Bretagne

https://www.bretagne.com/fr/la-bretagne/sa-culture/ses-symboles/la-devise-bretonne-kentoch-mervel-eget-em-zaotra

Bien entendu l'auteur du texte a-t-il voulu sans doute écrire "une hermine poursuivie par un renard". Mais la devise est formelle.