Citoyennes, citoyens, bonjour. Aussi longtemps que des personnalités anglo-saxonnes d'importance n'auront pas avoué que leur engeance a tout fait depuis pas loin de dix ans pour courir à la catastrophe, alors que les Russes se sont portés au secours de leurs concitoyens, rien ne sera possible. Toute la faute revient à Londres la perverse depuis des centaines d'années, et Washington la folle qui suit en éructant constamment des incohérences.
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Ne nous trompons pas d'ennemis. Ils n'ont pas changé, nos amis non plus. D'ailleurs, à l'école autrefois le maître disait toujours : pendant la terrible bataille de la Somme, et les autres aussi d'ailleurs, les Français défendaient Paris, pendant que les Anglais défendaient leur ligne de repli sur Calais. Il n'est pas certain que ces propos correspondaient (déjà) avec ceux qu'aurait pu tenir le ministère. Souvent les maîtres d'école, d'ailleurs respectés, avaient une vue intelligente des choses alors que le terme géopolitique est bien plus récent en France.
https://www.cairn.info/revue-herodote-2008-3-page-17.htm
Un ami, qui à l'époque travaillait dans l'imprimerie, avait beaucoup de considération pour François Maspéro, éditeur renommé, qui contribua à populariser le terme : il avait eu l'occasion de le côtoyer dans les années 70.
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Nous en sommes toujours au même point que quand l'Empire thalassique de Londres voulait (il le veut toujours, par personnes interposées) contrôler l'Eurasie ("Le Grand Jeu" popularisé par Kipling). Un besoin incoercible, né sans doute de la frustration de n'être pas l'Empire Absolu, signe d'une grande maladie collective au niveau psychologique. Le film "If....." de 1968 l'avait bien mise en évidence, d'ailleurs ce film n'a jamais été commercialisé en France, et en français, sous forme de DVD
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Oui, le marais politique de "DC la folle" est le prolongement de ces velléités. Une anecdote peut le confirmer. En 1971, le Shah d'Iran a célébré le 2500ème anniversaire de l'empire perse. Cela eut lieu au prix de gaspillages inouïs. Toutes les têtes couronnées de la Terre furent invitées, une seule refusa de venir : le Shah n'avait-il pas eu l'outrecuidance de se proclamer "roi des rois" ? Le refuznik fut... Elizabeth d'Angleterre, qui ne pouvait supporter quelqu'un au-dessus d'elle, "simple" reine d'un empire sur lequel le soleil ne se couchait pas. Incidemment, Haïlé Sélassié, l'empereur d'Éthiopie, consacré "roi des rois" depuis la nuit des temps, n'essuya jamais ce camouflet, lui qui était selon la tradition descendant de "la Reine de Saba" reçue avec faste par Salomon.
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La primauté qui a l'Imprimatur de la City ne saurait supporter quoi que ce soit qui tente de porter un regard désobligeant à on excellence sérénissime. Même si désormais cette primauté présente des trous de mites à sa cape royale

Res Publica, c’est la Chose Publique, donc ce qui concerne chacun et tous d’entre nous.
Donc, si cela nous concerne, à nous de nous en nous emparer, pour en faire NOTRE chose à tous. Solution :
Se réunir en toute égalité, le boucher à côté du vendeur de journaux à la sauvette, pour décider ensemble de ce qui nous concerne tous. Cela demande bien entendu bien des discussions, bien des concessions aussi parce que ce qui importe à tous n’est PAS ce qui importe à CHACUN, mais un compromis entre ces deux extrêmes. De discussion en discussion, cela deviendra le fruit d’un consensus d’autant plus important qu’il aura été plus chaud à mettre en place.
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S’il s’agit d’un projet plus vaste, requérant l’aval de plusieurs quartiers, de plusieurs villes, voire plus, il sera nécessaire de déléguer (uniquement pour ce dossier-là) la personne qui aura été mandatée d’une façon précise dans une sorte de cercle plus grand : s’il y a échec des négociations, le délégué devra faire part à ses voisins des raisons de l’échec. On rediscute sur cette base, et là un nouveau consensus se fait jour : les voisins acceptent cette nouvelle donne, OU PAS. Dans ce cas le délégué va faire part de cette décision démocratique au Grand Cercle. Si celui-ci l’admet, à chaque délégué d’en faire part à ses voisins, qui l’entérineront, ou non. Au bout du compte, seuls les cercles de premier niveau ayant accepté les modalités finales seront concernés. Les autres se seront retirés.
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Voilà la VRAIE démocratie, voilà la vraie CHOSE PUBLIQUE. Le reste n’est qu’un ersatz sans intérêt. Pour résumer, l’anarchie, la République et la démocratie sont presque synonymes. Je m’attends à ce que certains sautent en l’air, et pourtant…

A quand la fin de l'union européenne, qu'elle soit allemande ou autre ? Cette solution, qui nous fut IMPOSÉE, à nous Français, contre notre volonté claire, n'est qu'un horrible piège dont nous commençons à sentir les effets dévastateurs, mais disons-le tout net, ce n'est qu'un début ! Les hyènes sont sorties, elles n'auront de cesse qu'à continuer à faire du mal à tout le monde hormis une caste privilégiée et malfaisante.

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Bien entendu, le premier geste du Peuple sera d'éliminer les tenants du Système qui hantent notre sol. Il n'est pas nécessaire d'être violents, il suffit que ces fauteurs de malheur n'aient plus aucun moyen de nuire (je pense à une détention, où surtout les avocats n'auraient aucun accès aux détenus). Si violence il y a, elle ne doit pouvoir provenir que de ceux qui défendront leur pouvoir de nuisance. A chacun d'en être conscient à l'avance, pour savoir garder la tête froide malgré les pires provocations.

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Seconde étape : se doter le plus vite possible d'une Constitution bien plus robuste, aux garde-fous nombreux et pertinents. Un exemple :

https://ti1ca.com/xb3ndd2e-2022-08-29-2022-08-29.pdf.html

Ce n'est évidemment pas parfait, mais cela a le mérite d'exister, et de bénéficier d'un recul de douze ans, pour déceler les pièges.

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Cette Constitution approuvée, DONC l'appartenance à l'union (en fait bancaire) rejetée, il faudra s'y mettre ensemble, dans le respect de nos principes. Ceux-ci sont fort différents de ceux par exemple de la Russie, chaque pays a ses façons de voir les choses. C'est heureux, car la diversité est essentielle, et justement c'est cette diversité que selon les principes trotskistes les oligarques actuels ne tolèrent pas. Rousseau n'était pas russe, ni grec. On ne saurait concevoir une vie ensemble semblable à celle de Bolivie ou du Niger.

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Comme le répétaient les héros d'une vieille légende de ma contrée, osons clamer ce cri optimiste et positif : « Aubons ! », ce qui signifie Levons-nous à l'aube, soyons vigilants, et avançons.

Des commentateurs n'hésitent pas à indiquer que la Troisième Guerre Mondiale a commencé.

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J’apporterai mon grain de sel.
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Selon moi, l’AXE anglo-saxon depuis de fait 350 ans veut être LE SEUL empire, l’empire thalassique qui veut étendre son CONTRÔLE partout, et en particulier dans le fameux Heartland de Mackinder (1904), contrôle bien antérieur de fait puisque c’était déjà la politique de William Pitt un siècle auparavant.
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Ce qui me fait penser qu’en fait il y a eu une Guerre Mondiale lancée dès 1913, à l’occasion d’une réunion secrète dans l’île Jekyll bien nommée, réunion qui a permis de financer toutes les parties. Là où le bât blesse, c’est que de fait (je dis bien de fait malgré de nombreux « chiffons de papier » qu’on appelait traités), cette guerre dure toujours, et durera toujours jusqu’à ce que le caquet de la City de Londres (elle aussi « de fait » indépendante sans le proclamer) soit vraiment abattu. Comme une maladie au long cours, cette guerre a eu ses points chauds, ses points très chauds, et puis d’autres points plus froids. Elle est forcément mondiale, car la Perfide Albion s’est souvent vantée d’avoir un Empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais. La fameuse Guerre de l’Opium était de son fait, même si d’autres gouvernants se sont laissés entraîner. Est-ce un hasard, si elle a toujours la main sur l’archipel des Chagos, sur celui des Malouines, sur Gibraltar ? En revanche, pour le canal de Suez et les Dardanelles elle a échoué.
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Si on comptait tous les morts résultant de cette obsession, ce serait certaine-ment colossal. Donc, oui, pour moi la guerre commencée en 1913 continue toujours, et elle est toujours tout aussi mondiale.

Celui qui se prend pour le président de la République a dressé des comités Théodule qu'il manipule à sa guise, pour éviter l'écueil d'un législatif qui n'est plus une chambre d'enregistrement.

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