• « La guerre de sécession a cessé ça c'est sûr ! »

     

    Pas si sûr. Les mouvements centrifuges, en particulier des États à majorité Conservateurs, semblent s'accélérer. A ce moment-là DC sera non seulement un général fou sur le champ de bataille, mais en plus il sera seul. Pour rappel, il semble que de nombreuses personnes quittent des États Democrats, pour se précipiter avec armes et bagages dans les États Republicans, ce qui renforce ceux-ci et affaiblit les autres. Cela risque de transformer les élections à mi-mandat en basculement encore plus net des majorités : il ne sera plus possible de tricher suffisamment pour que les représentants de l'Éléphant ne fassent pas la pluie et le beau temps, coup de pied de l'Âne ou pas..

    Quant à la Russie, associée à la Chine elle a déjà gagné, et le sait : il faut tout l'aveuglement de l'État profond de DC pour ne pas l'avoir encore compris.

    En revanche, il est assez probable que, son sponsor détruit par lui-même, l'union européenne ne s'en remette pas, et disparaisse  son tour. Qui s'en plaindra, à part ceux qui actuellement en vivent, à nos dépens nous les simples citoyens bien entendu ?

     


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  • Debout, amis ! Debout, habitants de l'extrémité occidentale du continent eurasiatique ! Il est temps de se reprendre en mains. Dans chacun des pays grands ou petits qui composent une mosaïque aux fragments si différents, aussi bien les reliefs locaux, les rivières, les climats, les apports ethniques à travers les siècles ont façonné des particularités qui font toute votre richesse. Tout mélanger ne formerait qu'une boue suspecte et peu engageante.

    Certes, il peut être intéressant pour tous de s'entendre afin de simplifier les échanges météorologiques, les circulations de véhicules, les coordinations horaires, dans une certaine mesure : on voit mal imposer à Brest la même heure qu'à Varsovie, par exemple. Des accords commerciaux peuvent simplifier la coordination des échanges de biens, ne serait-ce que parce que les mûraisons des fruits et légumes n'interviennent pas au même moment à Ceuta et à Brème. Cependant il est important que ce ne soit qu'une commodité commune, librement acceptée en toute connaissance de cause par les citoyens.

    En revanche, souvent ce sont les financiers QUI IMPOSENT LEUR LOI, alors qu'ils ne DOIVENT être que les serviteurs des serviteurs.

    Habitants du promontoire dit européen, reprenez votre liberté, et que seuls des accords bénéfiques au plus grand nombre subsistent de l'aberration nommée union européenne, qui a été conçue PAR des banquiers, POUR des banquiers exclusivement. Cette aberration, donc, doit être dissoute, et chaque pays doit reprendre la main sur toutes ses souverainetés, monétaire, judiciaire, en éducation, en linguistique, sur ses ressources naturelles, sur sa politique sociale, sur son contrôle des migrations, sur la nécessité absolue de se garantir d'influences extérieures, en particulier du monde anglo-saxon aux options décidément trop différentes puisque chez eux c'est l'argent qui est roi.

    Il ne s'agit pas de repli sur soi : bien au contraire, il est très pertinent d'entretenir la diversité de nos coutumes, de nos langues, de nos cuisines, afin que chaque déplacement soit un dépaysement, et cela fait du bien ! TOUS égaux, ET TOUS différents, nous saurons ainsi réapprendre ce que certains se sont appliqués, dans leur seul intérêt, à tuer : la solidarité.


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  • Au début des années 2000,un homme soutenu par sa foi dans la Finance, plus importante pour lui que les Humains, se met à écrire une Constitution dite eu-ropéenne. Comme tout le monde, il sait fort bien que l'Europe, hors un contexte strictement géographique, n'existe pas, elle n'est qu'un nom donné à la pénin-sule certes très tourmentée qui termine à l'ouest le continent asiatique. Au fil des millénaires, poussés par le besoin d'espace, des vagues successives de peu-plement se sont déplacées vers l'ouest ou vers l'est à partir de l'isthme reliant cette Asie à l'Afrique. ; puis d'autres vagues de peuplement à leur tour se sont élancées du centre de l'immense Asie soit vers l'ouest à leur tour, soit vers l'est à travers un détroit de Behring presque à sec.

    Ces peuplements sont allés parfois jusqu'au bout, jusque dans la Scandinavie, jusque dans la presqu'île ibérique, jusqu'à la pointe bretonne ; ils ont même osé construire des bateaux pour aborder dans ce qui allait devenir les îles britan-niques, jusqu'en Islande, même jusqu'à ce qu'ils ont appelé le Vinland, et qui était vraisemblablement la côte du New Jersey. En raison des communications difficiles, de conditions climatiques très différentes, au fil des siècles ces peuple-ments se sont largement diversifiés au point de ne même plus se comprendre.

    Et voilà que, faisant fi de cet historique pourtant éloquent, cet homme écrit arbitrairement une Constitution pour une nation qui n'existe pas, qui n'a jamais existé, et n'existera probablement jamais. Pourquoi ? C'est que pour quelques personnes qui ne connaissent que l'Argent, avant la simple joie de vivre en famille, de l'Argent,il y en a à "gagner" sur le dos de ceux qui habitent là. Une énorme propagande sur tous les médias se développe pour soutenir cette thèse, propagande parfois violente envers ceux qui doutent, ou pire, ceux qui refusent.

    Parmi ceux qui refusent, se distingue un simple prof de droit de Lycée, qui a pris le temps de réfléchir, et qui démonte article par article (c'est très long !) ce texte constitutionnel ardu, en pointant les dangers parfois énormes, les invraisem-blances, les contradictions. Il se nomme Étienne Chouard, et les hordes de la Propagande se déchaînent contre lui. Pas de chance : il est irréprochable. Il fau-dra donc lui inventer de supposées amitiés douteuses, mais cela ne prend pas.

    Arrive le jour du scrutin. Les Autorités se congratulent avant les résultats : elles savent que ceux-ci leur seront favorables. Et puis non, en fait, les citoyens ont compris le message d'Étienne Chouard, et opposent au Pouvoir un NON cuisant. Cela se passe le 29 mai 2005. De mémoire, chacun se souvient sans doute des yeux hagards des "huiles" à la télé, délectable jouissance pour ceux qui ont su démonter le piège aux yeux du grand public. Non, les Français ne sont pas des "unioneuropéennens". Les Néerlandais non plus, qui ont voté dans le même sens quelques jours plus tard, ni les Irlandais pour d'autres raisons.

    Qu'à cela ne tienne : "ces Messieurs" ont lu leurs classiques, et selon la formule de Berthold Brecht, ils ont dissous le Peuple en faisant revoter en 2008 une partie de celui-ci (ce qui est inconstitutionnel, mais au diable ce genre de détail). Cela veut dire que désormais, plus rien de ce qui se décide en France n'est légitime. On retrouve à quelques détails près ce qui arriva le 10 juillet 1940, quand le parlement français abandonna les rênes à un vieux soldat au prestige suranné. Intelligemment, quand le général de Gaulle revint sur le sol français en 1944, il insista pour dire que ce qui s'était passé entre les deux dates ne comptait pas, et que la République, si elle avait dû s'exiler, avait toujours existé.

    Proclamons-le officiellement, le 4 février 2008, la France a été détruite, remplacée par une satrapie de plus en plus pourrie, digne des contes dits "arabes" les plus tordus, ou, "mieux" encore, de la Rome de Néron. Les Français sont en exil chez eux. Il suffira d'une poussée de conscience collective pour effacer tout le démontage de nos principes républicains, et de nos institutions. C'est pourquoi, conscient de la nécessité de cette reprise en main, je propose cette nouvelle version de la Constitution où sont éradiquées toutes les boues apportées par des politiciens véreux.

    https://ti1ca.com/7rvkyowe-2020-12-20-2020-12-20.pdf.html


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  • Les mêmes financiers et industriels qui mirent le pied à l'étrier à Adolf Hitler, pendant une dizaine d'années de 1932 à 1942, continuent la même stratégie. Dès 1943 arriva la relève, des hommes comme Jean Monnet et Robert Schuman se retrouvèrent "en stage" aux États-Unis dans le but de prolonger l'effort des banquiers : transformer durablement l'Europe en une colonie commode pour les débouchés des activités US. La pléthore colossale de films produits à la chaîne par Hollywood à cette période-là participe de façon très forte à la propagande pour le soldat US libérateur, envahissant en 1944 nos plages et nos villages avec ses chewing-gums, ses sodas, ses cigarettes si différentes, sa décontraction (et ses viols à répétition, mais on en parle moins).

    C'est ce déferlement que le général de Gaulle a bloqué dès son retour en France, refusant la monnaie de singe de l'occupant (AMGOT). Bientôt même, il l'obligea à déplacer ailleurs ses bases multiples nourries par une noria de GMC que, gamin, je voyais passer en riant. De même j'étais alors très impressionné par les immenses voitures garées dans un hameau US près duquel je passais souvent, aux aspects tellement différents de nos villages français !

    Pendant ce temps-là se tramaient des tractations où les agents US Monnet, Schuman, Spaak avaient le "beau rôle", sous couvert de reconstruction, avec la CECA d'abord, annoncée par Schuman dès 1950. Je cite là une phrase de Wikipedia, au contenu bien caractéristique, et ne laissant aucun doute sur l'origine de ces initiatives : les Anglo-Saxons de l'extérieur.

    Son principe s'inspire fortement des idées présentées par James Arthur Salter, 1er Baron Salter dans le livre Allied Shipping control qui mettaient en place la coordination des intérêts alliés après la première guerre mondiale.

    C'est ainsi que s'est petit à petit posée cette pseudo-Europe des décideurs, loin des vrais citoyens, et même s'en protégeant. C'est de cela qu'il convient de jour en jour davantage de se débarrasser, de gré, ou de force. D'autant qu'il ne s'agit pas de l'Europe, puisque certains pays comme la Norvège, la Suisse n'en ont jamais fait partie.

    Il est remarquable de noter que le symbole qu'ont voulu prendre ces gens est le drapeau bleu avec douze étoiles, qui semblerait ne vouloir rien dire, si.... on ne le retrouvait ailleurs, à propos d'un contexte fort malvenu en France championne de la laïcité. Mon ami Sylvain Baron a même découvert que les symboles dits "européens" n'ont pas été ratifiés par deux pays : la Grande-Bretagne (on a l'habitude) et.... la France. D'où sa légitimité pour retirer ces symboles d'autre chose sur des frontons de bâtiments publics, à juste raison.

    Nous, Français, n'avons rien à faire dans cette "union" que nous avons refusée avec panache le 29 mai 2005. Ce que firent ensuite les gouvernements, c'est passer outre cette décision souveraine, ce qui les mettait dans une position illégitime : ils s'en fichaient, jusqu'à présent ils avaient la force avec eux, mais cela pourrait bien changer. Le fait que la majorité en France ait basculé en 2012 était déjà un désaveu, mais bien entendu ils ne l'ont pas entendu ainsi.

    Il est du devoir de tous de reprendre la lutte qu'avaient initiée nos parents et grands-parents contre les mêmes adversaires de fait, soit les hommes d'argent anglo-saxons et leurs "barbouzes". Il s'agit d'ailleurs des mêmes, ou de leurs descendants, puisque Prescott Bush le grand-père participa au pot dans lequel puisa le chancelier. De même chez les Rockefeller, les Rothschild.... oui, nous sommes en guerre, souvent nos compatriotes ne le savent pas, mais EUX le savent. Et qu'on ne dise pas qu'il ne s'agit que d'une guerre économique (bien qu'elle fasse rage) : les yeux que perdent nos jeunes au cours des manifestations, la vie arrachée à Malik Oussekine ou Rémi Fraisse procèdent du même combat.

    L'union européenne est NOTRE ennemie. Bien planquée derrière des mercenaires payés de fait avec notre argent et nos impôts, elle nous prépare l'horreur par petites touches presque insensibles. La loi travail n'en est qu'une petite étape. QUI se lèvera ? Ne l'oublions pas, c'est toujours dans le camp du Peuple Souverain que se trouve la légitimité.

    "Les grands ne sont grands que parce que nous sommes à genoux" (La Boétie, Discours de la servitude volontaire)


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