• Un article de l'Observateur Continental interpelle :

    http://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=4652

    En fait la commission, repoussant toujours plus les limites de ses pouvoirs, veut mettre en otages en plus les pays sous sa coupe concernant les contrats de gaz, afin d'avoir par ce moyen toujours plus d'emprise sur les Vingt-Sept. C'est elle qui pousse à la roue pour exacerber la guerre, SA guerre en Ukraine, quitte d'ailleurs a recevoir un choc en retour : des représailles bien méritées sur Bruxelles. Si soudain les commissaires fuient la capitale belge, ce sera un signe.

     Ces commissaires sont les dignes (hum) descendants des Frères de la Côte, en beaucoup plus cynique Ne serait-il pas dommage qu'apparemment, aucun membre de ce conseil du Chaos n'ait été menacé ou mis en danger ? Ils sont les fiers pendants des "têtes pensantes" et dépensantes du Département d'État de Washington, ou des Grands Décideurs Financiers de Londres. C'est dire le niveau.

    Oui, NOUS les simples citoyens, avons de grands ennemis. Ils ne sont pas  à Beijing ou Moscou, mais à quelque chose comme une heure vingt de Paris. Soyons-en particulièrement conscients.


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  • A mille ans disparus

     

    En hommage à Nougaro

     

    Que se passe-t-il ? Je n'y comprends rien

    Y'avait une France, et y'a plus rien !

     

    Des géants l'avaient faite quand chuta un empire

    De Massilia la blonde au pays des Menhirs

    Abélard, Héloïse, Charles Sept, Henri Quatre,

    Et Louis le quatorzième, le soleil opiniâtre...

     

    Maintenant se déroule, à l'infini brisée,

    La ruine singulière des villes écrasées.

    Les Lombards triomphants sur le rien font la fête

    Alors que fument encore les ombres des poètes...

     

    Il a suffi qu'un jour des financiers rapaces

    Choisissent de changer l'or en simple paperasse

    Le génie en faux-semblant, la fierté en gourdasse,

    Les villes en lupanars, les quartiers en menaces !

     

    Et tout cela s'est fait sans que bougent les fronts,

    Que s'ébrouent tous les poings de nos ancien larrons,

    Que de flétris enfants se lèvent en révolte,

    Que la voix du pays mugisse, désinvolte !

     

    Que se passe-t-il ? Je n'y comprends rien

    Y'avait une France, et y'a plus rien !

     


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  • Monsieur Mark Kelly, je ne vous connais pas, mais étant astronaute vous DEVEZ être quelqu'un d'équilibré, peu importe votre option de "genre" comme on dit dans ces "milieux autorisés" qui n'autorisent que leur doxa. Choisissez cette option, et si vous ne la mettez pas en avant comme "une lumière dans la nuit" (ce qui pourrait indiquer que tous ceux qui n'ont pas cette option sont quantité négligeable, feraient-ils 96% de la population mondiale), tout le monde pourra vivre en paix.

    Quand de petites minorités veulent imposer leurs choix à la majorité


    .
    Des options différentes ont existé depuis des milliers d'années, par un caprice de certains ce sont des petites minorités qui veulent chasser la majorité. Bizarre... ou peut-être pas, mais je laisse à de plus pertinents que moi de porter des analyses se jouant des doxas, voire des INTERDITS.
    .
    Rassurez-vous, vous n'êtes pas le seul : des "philosophes", des gourous de "religion", des orateurs politiques fougueux, que sais-je, auront des positions aussi extrémistes, la seule différence étant l'impact médiatique de leurs interventions selon le "bon plaisir" de ceux qui sont au-dessus de ceux qui sont au-dessus de ceux qui gouvernent.


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  • L’énorme problème avec les États-Unis, c’est qu’ils voient les choses d’une façon bien particulière, enfantine : c’est moi que j’ai le plus gros zizi. N’ayant jamais été envahis, paradoxalement ils en ont la hantise permanente (ou leurs propa-gandistes font mine d’avoir cette hantise). Cela transparaît dans leurs postures, leurs écrits (oui, il leur arrive d’écrire), leurs films. Cela va de l’Aube Rouge, à la Faille de San Andreas qui n’est pourtant pas une invasion de petits hommes verts, mais une catastrophe naturelle prévue depuis longtemps : la dernière scène de cet opus est un vibrant hommage au drapeau à bandes qui bien sûr a gagné. Quelle différence avec La Ballade du Soldat, intimiste, humble avec une évocation à la fois des faiblesses humaines, et des forces que constituent ces faiblesses.
    https://www.youtube.com/watch?v=f0x3fqbSZFI
    .
    Je me demande ce qui se passerait dans leurs têtes, si simultanément Washing-ton, Seattle et San Diego étaient rayés de la carte : besoin de vengeance immé-diat, ou abattement d’avoir perdu la tête disons « pensante » de l’Empire. Ou y aurait-il comme dans la fin de L’Aube Rouge une espèce d’effacement de tout ce qui s’est passé avant. Après tout, c’est un conglomérat qui n’a pas de passé, qui peine à réaliser son présent, et dont on peut se demander, de ce fait, s’il peut avoir un avenir.
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    Ces élections en demi-teinte, qui viennent de se dérouler : est-ce bien un piétinement sans signification, ou simplement un échec de l’État profond à tricher suffisamment pour donner « la victoire » au parti de l’Âne ? Il est probable qu’il faille un certain temps pour le savoir, des mois, voire des années. En tout cas, soyons pratiquement certains que, malgré certains Neocons qui ne pensent qu’au niveau mondial, la politique extérieure restera inféodée à la politique intérieure, parce que, pour l’Étatsunien moyen, l’extérieur n’existe pas. Je ne serais pas surpris que, pour un simple citoyen du Midwest, la Russie ne soit vue que comme un truc un peu plus grand que Puerto Rico, la Grenade ou Panama…..


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  • Citoyennes, citoyens, bonjour. Aussi longtemps que des personnalités anglo-saxonnes d'importance n'auront pas avoué que leur engeance a tout fait depuis pas loin de dix ans pour courir à la catastrophe, alors que les Russes se sont portés au secours de leurs concitoyens, rien ne sera possible. Toute la faute revient à Londres la perverse depuis des centaines d'années, et Washington la folle qui suit en éructant constamment des incohérences.
    .
    Ne nous trompons pas d'ennemis. Ils n'ont pas changé, nos amis non plus. D'ailleurs, à l'école autrefois le maître disait toujours : pendant la terrible bataille de la Somme, et les autres aussi d'ailleurs, les Français défendaient Paris, pendant que les Anglais défendaient leur ligne de repli sur Calais. Il n'est pas certain que ces propos correspondaient (déjà) avec ceux qu'aurait pu tenir le ministère. Souvent les maîtres d'école, d'ailleurs respectés, avaient une vue intelligente des choses alors que le terme géopolitique est bien plus récent en France.
    https://www.cairn.info/revue-herodote-2008-3-page-17.htm
    Un ami, qui à l'époque travaillait dans l'imprimerie, avait beaucoup de considération pour François Maspéro, éditeur renommé, qui contribua à populariser le terme : il avait eu l'occasion de le côtoyer dans les années 70.
    .
    Nous en sommes toujours au même point que quand l'Empire thalassique de Londres voulait (il le veut toujours, par personnes interposées) contrôler l'Eurasie ("Le Grand Jeu" popularisé par Kipling). Un besoin incoercible, né sans doute de la frustration de n'être pas l'Empire Absolu, signe d'une grande maladie collective au niveau psychologique. Le film "If....." de 1968 l'avait bien mise en évidence, d'ailleurs ce film n'a jamais été commercialisé en France, et en français, sous forme de DVD
    .
    Oui, le marais politique de "DC la folle" est le prolongement de ces velléités. Une anecdote peut le confirmer. En 1971, le Shah d'Iran a célébré le 2500ème anniversaire de l'empire perse. Cela eut lieu au prix de gaspillages inouïs. Toutes les têtes couronnées de la Terre furent invitées, une seule refusa de venir : le Shah n'avait-il pas eu l'outrecuidance de se proclamer "roi des rois" ? Le refuznik fut... Elizabeth d'Angleterre, qui ne pouvait supporter quelqu'un au-dessus d'elle, "simple" reine d'un empire sur lequel le soleil ne se couchait pas. Incidemment, Haïlé Sélassié, l'empereur d'Éthiopie, consacré "roi des rois" depuis la nuit des temps, n'essuya jamais ce camouflet, lui qui était selon la tradition descendant de "la Reine de Saba" reçue avec faste par Salomon.
    .
    La primauté qui a l'Imprimatur de la City ne saurait supporter quoi que ce soit qui tente de porter un regard désobligeant à on excellence sérénissime. Même si désormais cette primauté présente des trous de mites à sa cape royale


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